R comme recettes
Chabatz d'entrar !
Mais je vous préviens d'avance, écrire cet article m'a donné faim ! Il y a donc un risque pour qu'en le lisant ce soit aussi le cas pour vous ! Prenez un petit encas avec vous ou lisez-le juste avant le repas !
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Chabatz d'entrar !
Mais je vous préviens d'avance, écrire cet article m'a donné faim ! Il y a donc un risque pour qu'en le lisant ce soit aussi le cas pour vous ! Prenez un petit encas avec vous ou lisez-le juste avant le repas !
Qui est mon plus lointain ancêtre ?
Il s’agit de François Richard, mon sosa numéro 3840. Comme je l'ai déjà mentionné dans plusieurs articles, les Richard font partis de mon arbre dès la quatrième génération avec mon arrière grand-mère maternelle, Jeanne Richard (1892-1983).
Dans ma famille, que ce soit du côté maternel ou paternel, les prénoms représentent pour la généalogiste que je suis, un vrai casse-tête ! Qu’ils soient identiques de père en fils sur plusieurs générations, qu’ils soient différents à la naissance de ceux utilisés quotidiennement, qu’ils soient identiques pour tous les membres d’une même fratrie, qu’ils soient rare (pour notre famille) et mettent en avant celui ou celle qui le porte ou encore que ce soient des féminins inconnus de prénoms masculins bien connus !
Aujourd'hui je vais un peu tricher car je ne vais pas vous rédiger un article sur l'oraison...
Mettre son enfant en nourrice (ou devenir nourrice). Voilà une pratique du 19ème et du début du 20ème siècle qui a fait des ravages chez les nourrissons. Les statistiques parlent d'elles-mêmes : 71% de mortalité chez les enfants mis en nourrice, 15% chez ceux allaités par leur mère*.